menu
FR | EN
Digital Healthcare Community
Certified Medical Tourism ProfessionalBest Medical Travel Agency 2015Best use of technology in Medical Travel 2017

News

7 results
Term ‘painkillers’ should be banned, says UK government adviser

10/02/2020

A government adviser in the UK is calling for the term ‘painkiller’ to be dropped as it is inaccurate and can lead to people have unrealistic expectations about the drugs the medications they take. According to Professor Jamie Coleman, who is part of a working group analysing the use of opioid medication for the government in England, the term ‘painkiller’ should be replaced by the term ‘pain reliever’. Professor Coleman said he is also in favour of ending the over-the-counter sale of low-dose codeine drugs in pharmacies, which he says can lead to people becoming dependent on prescription drugs, even addicted. He said even in low doses, such medication can cause serious side effects, including vomiting and nausea. Meanwhile, research suggests that just one in 10 people taking strong painkillers for long-term pain actually experience any benefits. Professor Coleman says the key to combatting people misusing opioid medication, such as codeine and morphine, is to make it prescription-only, as well as encourage a cultural shift away from GPs prescribing such drugs for long-term pain control. A report released last year by Public Health England (PHE) warned that people were getting hooked on opioids, anti-depressants and sleeping tablets. The same research revealed that more than 5 million people are given opioids every year, with 1.2 million taking them for at least 12 months. The bottom line, according to Professor Coleman, is that there is no such thing as ‘painkillers’ and that opioids just mask symptoms.

Un nouvel antibiotique découvert chez des bactéries

20/07/2018

  Une approche innovante a permis d’identifier des molécules produites par des micro-organismes présents dans l’eau de mer. Voici une découverte rassurante: une équipe de chercheurs du collège de médecine de l’université du Wisconsin, à Madison, a découvert un nouvel antibiotique au mode d’action inédit. Une molécule baptisée «keyicine». C’est en cultivant des protéobactéries du genre Rhodococcus - qui vivent en symbiose avec des invertébrés marins - avec des bactéries Micromonospora qu’ils ont pu faire apparaître cette nouvelle molécule. Cultivées dans des conditions «traditionnelles», les Rhodococcus seules ne fabriquent pas cette keyicine: les gènes qui commandent sa fabrication sont silencieux. Les chercheurs ont réussi à réveiller ces gènes et estiment que d’autres molécules intéressantes sont sans doute encore à découvrir (travaux publiés dans la revue ACS Chemical Biology ). «Nous pensons que les produits naturels restent l’une des plus grandes sources de molécules diverses destinées à traiter les maladies humaines»  Navid Adnani, premier signataire des travaux Parmi les défis qui attendent la médecine et la pharmacie, l’apparition de germes devenus insensibles aux médicaments est un obstacle majeur. Les chercheurs de l’école de pharmacie de l’université du Wisconsin ont fait le constat que, entre les années 1970 et le début des années 2000, la recherche, tant publique que privée, a délaissé les produits «naturels» provenant des bactéries pour s’appuyer essentiellement sur la chimie de synthèse. En effet, on a cru que l’homme avait fait le tour des produits naturels, et que la chimie, via des batteries de tests de dépistage, serait beaucoup plus efficace. «Grâce aux progrès technologiques, à celui de la génétique, de la protéomique, de la métabolomique, etc., nous pensons que les produits naturels restent l’une des plus grandes sources de molécules diverses destinées à traiter les maladies humaines», écrivent Navid Adnani, premier signataire des travaux, et ses collègues. «Une urgence de santé publique» Pour réussir à relever ce défi, les scientifiques se sont dit que la méthode traditionnelle de culture des bactéries - dans une boîte avec un milieu nutritif donné et une analyse de tous les produits issus de cette culture - ne convenait pas. D’ailleurs, on sait que d’innombrables bactéries ne poussent pas dans ces conditions: on estime d’ailleurs qu’on a réussi à cultiver en laboratoire moins de 1 % des bactéries présentes sur Terre! D’où leur idée à double détente. Un, aller chercher dans des réservoirs peu connus, comme les bactéries sous-marines. Un litre d’eau de mer contiendrait 100 millions à 1 milliard de bactéries de 20.000 espèces différentes. Deux, faire des co-cultures d’espèces bactériennes différentes et regarder ce que cela donne. Et bingo, cela a fonctionné. «Cela a l’air d’un joli travail. Et on ne découvre pas tant que cela de nouveaux antibiotiques», reconnaît Élodie Psender, pharmacienne au CHU de Limoges, impliquée dans le grand programme européen Combacte, un partenariat public-privé qui a pour objectif de générer des essais innovants pour faciliter l’enregistrement des nouveaux agents antibactériens. En Europe, la résistance aux antibiotiques est responsable de plus de 25.000 décès chaque année «Les recherches sur de nouveaux antibiotiques continuent mais, au vu des antibiorésistances, la recherche s’oriente vers de nouvelles thérapies innovantes, avec par exemple des anticorps. On travaille aussi à développer des tests précoces d’identification d’infections, ce qui permettra de mieux traiter et de faire de la prévention.» Selon l’Organisation mondiale de la santé, «la résistance aux antibiotiques est en train de devenir une urgence de santé publique en des proportions encore inconnues». En Europe, la résistance aux antibiotiques est responsable de plus de 25.000 décès chaque année. Les chercheurs pharmaciens du Wisconsin ont établi la structure chimique de la keyicine. Elle appartient à une famille d’antibiotiques, également efficaces contre certains cancers, les anthracyclines. Mais son mode d’action est différent. Tandis que les autres anthracyclines tuent les cellules en s’attaquant à leur ADN, la keyicine ne le fait pas. Ce qui pourrait donc rendre l’acquisition d’une résistance bactérienne beaucoup moins facile.

VIH/sida : toujours 6000 contaminations chaque année en France

09/07/2018

Un trop grand nombre de personnes sont séropositives sans le savoir et risquent de transmettre à leur tour le virus. En 2016, 5,4 millions de sérologies VIH (virus de l’immunodéficience humaine) ont été réalisées en France par des laboratoires de biologie médicale, dont 300.000 anonymement. Un chiffre considérable qui a conduit à la découverte d’environ 6000 nouvelles contaminations. Un chiffre désespérément constant depuis une petite dizaine d’années. L’une des explications vient sans doute de l’épidémie cachée, c’est-à-dire des personnes contaminées (séropositives) sans le savoir. Ils seraient 25.000 en France selon une modélisation de l’Inserm. On comptait pourtant beaucoup ces dernières années sur l’arrivée de nouveaux outils de dépistage pour réduire ce foyer occulte. Hélas, ni le dépistage communautaire possible depuis septembre 2011 en France par test rapide d’orientation diagnostiques (Trod), 56.300 réalisés l’an dernier, ni les 75.000  autotests vendus en pharmacie en 2016 (disponibles depuis septembre 2015) n’ont amélioré sensiblement la situation. ls ont néanmoins l’intérêt d’atteindre une population particulièrement exposée au VIH, principalement les hommes ayant des rapports avec des hommes (HSH) et les migrants. Ces deux groupes constituaient les deux tiers des personnes dépistées par des tests rapides. «Plus on connaît tôt son statut sérologique, plus le bénéfice est grand» François Bourdillon, le directeur général de Santé publique France Les experts de Santé publique France, qui ont publié un bulletin épidémiologique hebdomadaire entièrement consacré à l’épidémie d’infection à VIH/sida, soulignent deux enjeux de santé publique: le retard diagnostic et la dynamique de l’épidémie dans certains groupes de population (HSH, migrants originaires d’Afrique subsaharienne). Le retard diagnostic reste important, «Plus on connaît tôt son statut sérologique, plus le bénéfice est grand, rappelle François Bourdillon, le directeur général de Santé publique France. Le bénéfice est individuel mais aussi collectif car le risque de transmettre le VIH à un partenaire pour une personne traitée avec une charge virale indétectable est quasi nul.» Même dans le groupe des HSH, pourtant sensibilisé au VIH/sida et bien informé sur les moyens de protections tels que la PrEP (prophylaxie pré-exposition), seulement la moitié des infections font l’objet d’un dépistage précoce et 18 % des infections sont découvertes à un stade avancé. La majorité des nouvelles contaminations concerne toujours les hétérosexuels (3200), devant les HSH (2600). Cependant la découverte de séropositivité diminue d’année en année (-9 % entre 2013 et 2016) chez les hétérosexuels, avec une baisse plus marquée chez les hommes que chez les femmes, alors qu’elle reste stable chez les HSH.  

Voyages : se protéger contre les maladies

07/06/2018

Paludisme, vaccination et trousse à pharmacie, pour éviter les risques de maladies pendant un voyage il est vital de bien se préparer. À l'approche des vacances d'été, il est important de rappeler que voyager n'est pas sans danger. D'après le dernier rapport de l'Institut de veille sanitaire (InVS), paru le 9 juin dernier, le risque de décès dans le cadre d'un voyage est estimé dans le monde à 1/100.000 par mois. Si ce taux de mortalité peut être considéré comme faible, le risque de contracter une maladie est en revanche beaucoup plus important: il varie de 15 % à 70 % en fonction de la destination, des conditions de séjour et des antécédents médicaux du voyageur. Parmi les maladies les plus fréquemment contractées, la diarrhée devance les infections des voies aériennes supérieures, les dermatoses et la fièvre. Quelques précautions comme la vaccination et une bonne hygiène peuvent radicalement diminuer les risques de contracter ces maladies. Selon l'InVS, quelques points méritent une attention particulière pour mieux voyager cette année: • Le paludisme: une maladie importée en augmentation Le paludisme, transmit par les moustiques, se caractérise par la manifestation d'épisodes aigus de fièvre avec des conséquences parfois mortelles. En France, le rapport de l'InVS évoque une augmentation de 8 % du nombre de cas en 2014 par rapport à 2013, avec 2.299 nouveaux malades. Contrairement au reste du monde où le nombre de contaminés a baissé de 30 % entre les années 2000 et 2013. Pour les autorités sanitaires, cette augmentation s'explique en partie par les opérations militaires à l'étranger, mais aussi par le nombre croissant des cas d'importation parmi la population. Le paludisme sévit principalement dans les zones tropicales, subtropicales ou tempérées chaudes d'Asie, d'Amérique latine et du Moyen-Orient. Cette maladie qui, au niveau mondiale, tue plus de personnes que le sida ne bénéficie d'aucun traitement assurant une protection totale. Pourtant, la prise préventive et journalière de médicaments antipaludiques - non remboursés et délivrés sur ordonnance - ainsi que l'utilisation de moustiquaires et de produits répulsifs ou d'insecticides, permettent de réduire les risques de contamination. • La diarrhée du voyageur: la maladie la plus répandue Le risque de diarrhée peut dépasser les 50 % pour un séjour de trois semaines et se guérit en 1 à 3 jours dans les cas les plus bénins. L'origine de l'infections peut être virale (rotavirus), bactérienne (Escherichia coli) ou parasitaire (Giardia intestinalis). En cas de diarrhée, il est recommandé de boire abondamment des liquides salés et sucrés en alternance et/ou d'utiliser des sels de réhydratation orale (sachets à diluer) pour éviter une perte importante de sels minéraux. Les précautions à prendre sont avant tout des mesures basiques d'hygiène : se laver souvent les mains et consommer de l'eau en bouteille capsulée. Pendant un voyage, le corps n'est pas habitué aux produits locaux: les autorités sanitaires préconisent donc d'éviter les glaçons, les jus de fruits frais, les crudités, les coquillages et de bien cuire les aliments. • Respecter les vaccinations: un rempart contre la plupart des maladies La plupart des maladies liées aux voyages peuvent être prévenues par la vaccination. Pour l'administration du vaccin et des conseils, il vaut mieux se tourner vers son médecin traitant ou vers un centre des voyageurs. - Vaccins nécessaires en France: vérifier la mise à jour des vaccins est essentiel avant de planifier un départ pour des maladies comme la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche et la rougeole. D'autres vaccins plus circonstanciels comme la grippe, l'hépatite A et les pneumocoques sont recommandés si l'on doit côtoyer des foules. - Vaccins nécessaires à l'étranger: ces recommandations dépendent des régions du monde, des conditions de séjour et des facteurs de risque individuels (âge, antécédents médicaux…). Les autorités sanitaires du pays peuvent demander un certificat de vaccination pour l'entrée sur le territoire: international pour des maladies comme la fièvre jaune, ou national pour des infections à méningocoques dans les pèlerinages en Arabie Saoudite. • Les comportements à risque: des conséquences parfois mortelles - Risques sexuels : différents types de maladies peuvent êtres contractés par voie sexuelle: qu'elles soient mortelles et incurables comme le VIH et l'hépatite B ou curables mais hautement contagieuses comme la syphilis, gonococcie, l'herpès etc. - Risques du tourisme médical : dans la plupart des pays aux structures sanitaires insuffisantes, les transfusions sanguines présentent un risque de transmission d'agents pathogènes allant des hépatites B et C jusqu'au VIH. Une hospitalisation peut, dans les pays en développement, provoquer des infections nosocomiales à partir de bactéries multirésistantes comme le staphylocoque doré. - Risques liés aux tatouages et piercing : ils présentent un risque majeur de transmission par le sang d'agents pathogènes des hépatites B et C et du VIH. - Risques liés aux drogues : en plus de favoriser une potentielle contamination par le sang, intoxication ou trouble du comportement, la juridiction de certains pays peut entraîner une condamnation à la peine de mort. • Trousse à pharmacie: prendre soins de ses médicaments Même si la composition de la trousse à pharmacie varie selon la destination et les pathologies personnelles, quelques conseils peuvent être appliqués. Ainsi les médicaments doivent être: dans leur emballage pour éviter les erreurs, accompagnés des ordonnances pour les contrôles et un éventuel achat sur place. Mieux vaut éviter des médicaments sous formes liquides ou en suppositoire. Ils doivent être préservés des variations de température dans un contenant hermétique, accompagnés d'un certificat en règle pour être acceptés en cabine sous forme de seringues, d'aiguilles ou de stylos injecteurs. Enfin, il est nécessaire de prévoir des doses pour tout le voyage, à garder dans le bagage à main, afin d'éviter d'acheter des contrefaçons, nombreuses dans certains pays.

Buying meds online puts health at risk, says health watchdog

07/03/2017

People should be cautious when purchasing medications online after an investigation uncovered "widespread failings" at some Internet-based providers, the Care Quality Commission (CQC) has said. The independent regulator of health and social care in England inspected 11 internet prescription services in the country and found some "potentially presenting a significant risk to patients". Despite some providers being well-run, others were cutting corners, according to the CQC investigation. For example, two online providers - Treated.com and MD Direct - did little or no checking of patients' identities. In addition, they were guilty of inadequate prescribing and gave no assurances that the clinicians working behind the scenes had the qualifications or relevant skills for the roles they were performing. Talking to BBC Radio 5 Live, Prof Steve Field, the CQC's chief inspector of general practice, said: ""Some of these websites prescribed unlicensed medicines and - even more worryingly - medicines for diabetes, Parkinson's disease, heart disease and Lithium for bipolar disorder." The CQC has now drawn up a set of clear standards for online pharmacies. Going forward, all Internet-based providers must: verify that a patient is who they say they are, such as through a Skype check obtain a comprehensive and up-to-date medical history ensure patients truly understand what medicines they are being given seek permission to contact a patient's GP One of the biggest problems cited with antibiotics being sold online is that some people treat them like sweets. More discipline is needed if we are to prevent the so-called antibiotic apocalypse - where bacteria become resistant to more and more drugs - from happening.

PARTNERS

09/02/2016

OUR PARTNERS France SURGERY’s team offers to be your contact point in France to help you better organize your medical stay according to your needs and choices. We propose an access to our extended network of partners all over France : Hospitals, clinics, best accommodations’ nearby your hospital, top rehabilitation’s centers, ambulance services, pharmacies, laboratories, English speaking physiotherapists, nurses, airlines companies, airports, travel agencies, medical and tourism institutions’ partners … For all reservation, please send an email to our International Patient Service Lufthansa Special offer:  Discounted travel with Lufthansa Lufthansa German Airlines offers a comprehensive global route network linking major cities around the world. As an airline partner, Lufthansa offers special prices and conditions to staff members or international patients of the Contracting Partner undergoing medical or wellness treatments and their travel companions. To make a reservation, please click on www.lufthansa.com/healthcare and enter the access code FRZENBD in the "Access to Your Special Lufthansa Offer" area. This will open an online booking platform that will automatically calculate the discount offered or provide you with an even better offer if another promotional fare is available. NOTE : Pop-ups must be enabled otherwise the booking platform window will not open.  Capio DomusVi Cliniques IM2S Global Protection Solutions Médi Partenaires     Dr. Dominique VASSE - Qualified Plastic Surgeon  Logiderm - Aesthetic Medicine  SETeS   US Consulate  Vedici  La French Tech         French Property Centre  

Our Partners: Making your stay with us easy

27/02/2014

Unlike many other clinics, France Surgery are happy to assist as much as we can with organising and managing your stay when you come to us for any treatment or services. We understand that it may be a difficult time, so to make life easier we’ve partnered with hotels, airlines, travel agents, top clinics, rehabilitation centres, ambulance services, pharmacies, laboratories and more, so it doesn’t need to be yet another thing to worry about. Our full list of partners are: Lufthansa Airlines – Discounted travel fares available Capio - One of Europe’s leading healthcare companies Domus Cliniques – Clinic’s situated in the Alpes Maritimes region IM2S – A surgical clinic that specialises in the treatment of musculoskeletal and ligamentous pathologies Médi-Partenaires - A leading private healthcare company SETeS - International Society for Telemedicine & eHealth US Embassy Vedici – Private health clinics in France For more information or to make any reservations please contact our International Patient Service who look forward to your query.

expand_less