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3 results
Evidence suggests potential link between Alzheimer’s and herpes

17/07/2018

Genetics, lifestyle and environmental factors are all thought to play a role in causing Alzheimer’s disease. And it’s now looking increasingly likely that we can add certain strains of the herpes virus to that list too. A study funded by the National Institutes of Health, the results of which were recently published in the journal Neuron, found that people with Alzheimer’s disease had higher levels of herpes strains 6A and 7 – two common forms of the virus, but not the ones responsible for genital herpes or cold sores. Alzheimer’s – also commonly referred to as dementia – causes people to lose their memory and is the sixth leading cause of death in the United States today. The authors of the study hope their research could one day lead to exciting new Alzheimer’s treatments and help better determine just who is at risk of developing the disease. "The hypothesis that viruses play a part in brain disease is not new, but this is the first study to provide strong evidence based on unbiased approaches and large data sets that lends support to this line of inquiry," National Institute of Aging Director Richard J. Hodes, M.D., said in a statement. The findings of the study reignite an old theory that suggests viruses could impact brain functions long term.

Voyages : se protéger contre les maladies

07/06/2018

Paludisme, vaccination et trousse à pharmacie, pour éviter les risques de maladies pendant un voyage il est vital de bien se préparer. À l'approche des vacances d'été, il est important de rappeler que voyager n'est pas sans danger. D'après le dernier rapport de l'Institut de veille sanitaire (InVS), paru le 9 juin dernier, le risque de décès dans le cadre d'un voyage est estimé dans le monde à 1/100.000 par mois. Si ce taux de mortalité peut être considéré comme faible, le risque de contracter une maladie est en revanche beaucoup plus important: il varie de 15 % à 70 % en fonction de la destination, des conditions de séjour et des antécédents médicaux du voyageur. Parmi les maladies les plus fréquemment contractées, la diarrhée devance les infections des voies aériennes supérieures, les dermatoses et la fièvre. Quelques précautions comme la vaccination et une bonne hygiène peuvent radicalement diminuer les risques de contracter ces maladies. Selon l'InVS, quelques points méritent une attention particulière pour mieux voyager cette année: • Le paludisme: une maladie importée en augmentation Le paludisme, transmit par les moustiques, se caractérise par la manifestation d'épisodes aigus de fièvre avec des conséquences parfois mortelles. En France, le rapport de l'InVS évoque une augmentation de 8 % du nombre de cas en 2014 par rapport à 2013, avec 2.299 nouveaux malades. Contrairement au reste du monde où le nombre de contaminés a baissé de 30 % entre les années 2000 et 2013. Pour les autorités sanitaires, cette augmentation s'explique en partie par les opérations militaires à l'étranger, mais aussi par le nombre croissant des cas d'importation parmi la population. Le paludisme sévit principalement dans les zones tropicales, subtropicales ou tempérées chaudes d'Asie, d'Amérique latine et du Moyen-Orient. Cette maladie qui, au niveau mondiale, tue plus de personnes que le sida ne bénéficie d'aucun traitement assurant une protection totale. Pourtant, la prise préventive et journalière de médicaments antipaludiques - non remboursés et délivrés sur ordonnance - ainsi que l'utilisation de moustiquaires et de produits répulsifs ou d'insecticides, permettent de réduire les risques de contamination. • La diarrhée du voyageur: la maladie la plus répandue Le risque de diarrhée peut dépasser les 50 % pour un séjour de trois semaines et se guérit en 1 à 3 jours dans les cas les plus bénins. L'origine de l'infections peut être virale (rotavirus), bactérienne (Escherichia coli) ou parasitaire (Giardia intestinalis). En cas de diarrhée, il est recommandé de boire abondamment des liquides salés et sucrés en alternance et/ou d'utiliser des sels de réhydratation orale (sachets à diluer) pour éviter une perte importante de sels minéraux. Les précautions à prendre sont avant tout des mesures basiques d'hygiène : se laver souvent les mains et consommer de l'eau en bouteille capsulée. Pendant un voyage, le corps n'est pas habitué aux produits locaux: les autorités sanitaires préconisent donc d'éviter les glaçons, les jus de fruits frais, les crudités, les coquillages et de bien cuire les aliments. • Respecter les vaccinations: un rempart contre la plupart des maladies La plupart des maladies liées aux voyages peuvent être prévenues par la vaccination. Pour l'administration du vaccin et des conseils, il vaut mieux se tourner vers son médecin traitant ou vers un centre des voyageurs. - Vaccins nécessaires en France: vérifier la mise à jour des vaccins est essentiel avant de planifier un départ pour des maladies comme la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche et la rougeole. D'autres vaccins plus circonstanciels comme la grippe, l'hépatite A et les pneumocoques sont recommandés si l'on doit côtoyer des foules. - Vaccins nécessaires à l'étranger: ces recommandations dépendent des régions du monde, des conditions de séjour et des facteurs de risque individuels (âge, antécédents médicaux…). Les autorités sanitaires du pays peuvent demander un certificat de vaccination pour l'entrée sur le territoire: international pour des maladies comme la fièvre jaune, ou national pour des infections à méningocoques dans les pèlerinages en Arabie Saoudite. • Les comportements à risque: des conséquences parfois mortelles - Risques sexuels : différents types de maladies peuvent êtres contractés par voie sexuelle: qu'elles soient mortelles et incurables comme le VIH et l'hépatite B ou curables mais hautement contagieuses comme la syphilis, gonococcie, l'herpès etc. - Risques du tourisme médical : dans la plupart des pays aux structures sanitaires insuffisantes, les transfusions sanguines présentent un risque de transmission d'agents pathogènes allant des hépatites B et C jusqu'au VIH. Une hospitalisation peut, dans les pays en développement, provoquer des infections nosocomiales à partir de bactéries multirésistantes comme le staphylocoque doré. - Risques liés aux tatouages et piercing : ils présentent un risque majeur de transmission par le sang d'agents pathogènes des hépatites B et C et du VIH. - Risques liés aux drogues : en plus de favoriser une potentielle contamination par le sang, intoxication ou trouble du comportement, la juridiction de certains pays peut entraîner une condamnation à la peine de mort. • Trousse à pharmacie: prendre soins de ses médicaments Même si la composition de la trousse à pharmacie varie selon la destination et les pathologies personnelles, quelques conseils peuvent être appliqués. Ainsi les médicaments doivent être: dans leur emballage pour éviter les erreurs, accompagnés des ordonnances pour les contrôles et un éventuel achat sur place. Mieux vaut éviter des médicaments sous formes liquides ou en suppositoire. Ils doivent être préservés des variations de température dans un contenant hermétique, accompagnés d'un certificat en règle pour être acceptés en cabine sous forme de seringues, d'aiguilles ou de stylos injecteurs. Enfin, il est nécessaire de prévoir des doses pour tout le voyage, à garder dans le bagage à main, afin d'éviter d'acheter des contrefaçons, nombreuses dans certains pays.

Study: Viruses 'more dangerous' in the mornings

18/08/2016

A new study by the University of Cambridge in the UK has found that viruses are more dangerous when they infect people in the mornings. In fact, the findings of the study, which were published in the medical journal PNAS, show that virus infections that occur in the morning can be up to 10 times more dangerous for the individual. For the study, the Cambridge researchers infected mice at different times of the day with either influenza or herpes. They then looked whether there was any correlation between the time of day when the infection occurred and the potency of the virus. Mice that were infected in the morning were found to have viral levels 10 times higher than those infected in the evening. Unlike bacteria or parasites, viruses rely on the cells of their host to replicate and grow. However, those cells change dramatically throughout the day as part of our 24-hour body clocks. The researchers say their findings could pave the way for stopping pandemics. For example, when faced with a pandemic, it could be life-saving for people to stay inside during the daytime. A virus infection in the evening is like someone trying to hijack a factory once all the workers have gone home. In other words, it's likely to be unsuccessful.

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